sujets de discussions
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TGV à 5 euros 20/09/2006 09:04:42 par pkoi
50 000 places commence le 21 sept à 12h ! |
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21/09/2006 12:03:00 par cmoa
scandaleux , enfin c'est bien représentatif de ttes les administrations ...poste et autres |
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21/09/2006 14:12:11 par nana_banga
je parle des gares des villages ou petites villes où y'a pas bcp de monde, faut savoir que le tgv est le 1er transport en France, donc sur 64 millions de Français et 50 000 places c'st vite parti! la sncf est victime de son succès de tte la pub faite autour de pub! donc je suis pas étonnée que cela soit partie vite personnellement ! en plus les dates seront utilisables entre le 5 octobre et le 9 décembre! donc en plein période de vacances de la toussaint, donc tjr pas surprise de l'engouement du public! |
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SNCF à 5 euros 21/09/2006 15:00:19 par baba94
En tout cas moi je suis contente et je suis désolée pour les autres ! |
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21/09/2006 15:03:20 par Mirondort
Imaginez le nombre de personnes en train de réactualiser sa page internet -> le serveur ne pouvait certainement pas pouvoir fournir de place puisqu' à chaque page affichée la chance d'obtenir la page suivante était de 1/20 ... soit 5 pages d'affilé = 1*20^5 = 1 chance sur 3 millions... autant jouer au Lotto!! De plus les guichets devaient avoir un accès prioritaire sur le serveur et vu l'engouement... Enfin bref, la sncf s'est fait plaisir avec sa pub, quitte à dégouter tous les gens qui ont fait la queue, qui ont essayé à tord de se connecter, etc... A quand un service concurrent de la sncf?? Pour qu'enfin arrive cette qualité de service qui fait défaut! A bon entendeur... Un énervé de la sncf |
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21/09/2006 17:42:21 par mikerassat
Il est anormale que les habitués soient floués. il est aussi anormale qu'il y ai 6 billet par personnes. De plus il devait mettre en place un renforcement du site pour donné l'égalité des chances aux personnes sur le net... Moi je leur ai écris pour avoir un geste commerciale vu l'impossibilté de me connecter. Le TGV à 5 euros (18/09/2006) La direction VFE vient d’annoncer une opération promotionnelle sans précédent à l’occasion des 25 ans du TGV. Pendant quelques heures, le jeudi 21 septembre à partir de 12h00, 50 000 billets TGV seront vendus au prix hors norme de 5€. Cette opération « TGV à 5€ » n’est pas sans rappeler quelques expériences régionales même si le périmètre est national, que la vente est contingentée et concerne des circulations sur la période du 05 octobre au 09 décembre. Toutes ces opérations ponctuelles sont des succès parce qu’elles offrent un tarif très attractif (par exemple « TER à 1€ »). Pour autant, elles ont laissé bien des souvenirs cuisants aux cheminots, les moyens humains et matériels mis en place pour ces occasions ne permettant pas de répondre aux flux exceptionnellement dense de voyageurs. Elles se sont soldées par des dégradations importantes des conditions de transport des usagers et des conditions de travail et de sûreté déplorables. L’ambiance dans les gares allant parfois jusqu’à friser l’émeute, les cheminots ont subi de multiples agressions. Très souvent celles-ci se limitèrent fort heureusement à des joutes verbales, mais furent tout de même d’une grande violence, voire traumatisantes. S’agissant cette fois d’une opération d’une autre nature, mais d’envergure nationale et pour laquelle un impact médiatique important est hautement probable, il est à craindre de nombreux débordements graves aux guichets, d’énormes difficultés pour le personnel des gares :  Les files d’attente décuplées ;  La saturation du système de réservations qui laisse craindre un bug informatique ;  La majorité des places prises par Internet en quelques minutes au détriment des très nombreux usagers aux guichets ;  Les très nombreuses opérations d’échanges et de remboursements que suscitera l’obtention de billets à moindre prix ;  Le nombre d’usagers déçus conditionnera le risque d’agressions en tous genres. Toutes ces promotions démontrent la grande attractivité du train pour peu que les freins liés au tarif soient levés. Le train répond aux besoins des usagers et ces besoins sont grands. Les atouts du train sont multiples comme chacun sait : c’est un mode de transport moderne, sûr, économique, écologique, confortable, fiable …, etc. L’offre actuelle ne correspond pas suffisamment aux besoins des usagers et, surtout, s’éloigne du concept de service public pour s’inscrire dans une démarche purement marchande. Ces expériences devraient imposer une réflexion technique et économique, tant au sein de l’entreprise que dans les milieux politique, et ainsi permettre à nos décideurs de mieux adapter l’offre aux besoins des citoyens. Tout le monde y gagnerait. DES MOYENS POUR LE SERVICE PUBLIC SNCF Offrir la possibilité de découvrir les avantages du TGV pour une somme très modeste, telle pourrait être une initiative louable, avec pour objectif ambitieux de contribuer à la valorisation de l’image du train, plus largement à la prise de conscience des bienfaits du transport collectif, à son développement. Mais c’est l’image du TGV qui est visée par cette promotion et non celle du train dans son ensemble, et encore moins les valeurs de solidarité du service public. Pour la CGT toute offre à tarif unique, réservée à un nombre restreint de bénéficiaires privilégiés, est inéquitable et pour le moins très éloignée de l’esprit de service public qui nous est cher et qui place l’ensemble des usagers sur le même pied d’égalité. De plus, ce plébiscite du TGV maintient dans l’oubli les autres types de trains au service des usagers. Le tout TGV est une orientation politique et commerciale à l’opposé des revendications de la CGT sur la complémentarité des modes de transport. L’effet bénéfique attendu en matière de valorisation du train pourrait bien être complètement gommé par des conditions de réalisation totalement inacceptables, aussi bien pour les usagers que pour les cheminots. Cette opération promotionnelle ne doit pas faire oublier les responsabilités du gouvernement actuel sur son désengagement financier vis-à-vis du service public SNCF. Cependant, il n’est pas question pour nous de s’opposer à ces opérations promotionnelles dont l’attractivité est incontestable aux yeux du public, même si l’expérience laisse augurer la contre productivité d’un tel projet. Tout ceci conduira les élus et mandatés CGT, dès aujourd’hui, à obtenir de la direction la garantie que toutes les mesures envisageables auront été prises pour assurer le déroulement de cette opération dans les meilleures conditions possibles, tant pour les usagers que pour le personnel des gares. Pour cela la CGT exige, pour la durée de l’opération :  Que tous les guichets soient ouverts et que des renforts d’agents soient programmés ;  Que la hiérarchie soit présente ;  Que la SUGE soit disponible pour intervenir rapidement en cas de besoin. La CGT rappelle que :  La sûreté des agents doit être assurée en toutes circonstances,  Le personnel se sentant menacé ou sous une trop grande tension peut suspendre son service sans risque de sanction et doit être avisé de cette possibilité. Il s’agit du droit de retrait. La CGT défend l’esprit d’équité qui définit le service public, ce qui rend irrecevable l’idée d’une poignée de billets à bas prix jetés en pâture aux centaines de milliers d’usagers du TGV. C’est avoir peu de considération pour les usagers que de les parquer dans des files d’attente décuplées (alors qu’elles sont déjà d’ordinaire anormalement longues), dans le mince espoir d’obtenir un hypothétique billet bradé. A préciser également que le seul point sur lequel la direction SNCF a entendu nos revendications est que l’offre ne sera pas injustement réservée aux seuls usagers dotés d’Internet. C’est l’occasion de rappeler à la direction les trop nombreuses carences de tenue de postes constatées cet été. Les renforts, une nouvelle fois amoindris, n’ont pu absorber les files d’attente que le plan « Ambition Vendeur » contribue à allonger considérablement, toujours au détriment des conditions de travail qui ne cessent de se dégrader dans les gares. Les établissements Exploitation, déjà durement touchés par les plans successifs, sont désormais en limite de rupture. La CGT le précisera clairement dans toutes les Instances de Représentation du Personnel et rappellera le principe d’équité qui constitue le socle du service public. La CGT a déjà interpellé la direction nationale pour lui demander d’ouvrir tous les guichets, de mettre en place un maximum de renfort et de mobiliser l’encadrement pour apporter toute l’aide nécessaire aux agents afin que cette opération, que nous n’avons pas choisie, se déroule dans les meilleures conditions. |
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